« L’euro, avant, pendant et après » par Vincent Brousseau, ancien économiste français à la BCE. Il entre à la BCE en 1998 en bon européiste convaincu.
Ayant compris que les Institutions européennes constituent une quasi dictature, visaient à favoriser les intérêts géopolitiques, économiques & financiers d’une petite oligarchie atlantiste, au détriment des peuples européens ,et français en particulier, il quitte la BCE en 2014 pour rejoindre l’ UPR, informer les Français et sortir la France de l’ UE & de l’ euro.
A l’ UPR il est responsable des questions monétaires.
L’euro n’est rien d’autre que les monnaies nationales rebaptisées « euro », avec obligation pour les Banques centrales d’accepter les euros des autres pays avec un change fixe de 1 pour 1, sans limite de quantité.
Un euro-franc = 1 euro-drachme= 1 euro-mark etc.
Depuis 2008, l’euro est en crise pour des raisons internationales ( suppression du marché interbancaire), pour des raisons techniques ( TARGET) , d’où le risque d’éclatement de l’ euro, qui s’est traduit par des taux d’emprunts des Etats divergents, un conflit entre Banques centrales, et entre la Bundesbank et la BCE.
Les monnaies supranationales ne fonctionnent jamais, ce sont des monnaies d’ Empires essayant de rassembler des Etats soumis, ce qui fini toujours mal, en général... Une monnaie = une économie = un pays = un peuple.
Or, il n’y a pas de peuple européen.
« La tragédie de l’ euro » par Asselineau.