Ils ne peuvent peut-être pas se revendiquer de l’Islam mais ils le font et alors elles font quoi, les autorités musulmanes, si tant est que l’on puisse parler d’autorités dans une religion qui n’a pas de hiérarchie et où n’importe quel ahuri ayant prédigéré une sourate du Coran peut se proclamer imam pour prêcher des fadaises à d’autres ahuris prêts à les recevoir.
On attend toujours la grande manifestation des personnes de confession musulmane avérées ou supposées pour se désolidariser de ces fous de Dieu ( enfin de Dieu, fous tout court ) et pourtant il y a urgence.
Le racisme anti-arabe se nourrit des germes semés par ces terroristes, c’est d’ailleurs plus que probablement l’objectif de ces desperados : réussir un clivage de la société où les Musulmans seront vus avec méfiance et se poser en alliés objectifs du Front National.
On est, paraît-il, dans un état de droit.
Il faut se souvenir des voies et moyens mis en place par De Gaulle pour éradiquer l’OAS et les remettre à l’honneur pour écraser l’hydre salafiste : les voitures qui explosent peuvent très bien être celles des salafistes ( c’est d’ailleurs un estimé service qu’on leur rend car on accélère leur arrivée au paradis puisque ils croient à ces fadaises ), les gens, qui passent par la fenêtre pour s’écraser sur le trottoir ou à qui de malencontreux accidents arrivent, peuvent appartenir à cette mouvance nocive, l’état de droit n’y peut rien et les enquêtes peuvent être classées sans suite.