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Commentaire de Olivier Perriet

sur La crise grecque, les Européens et Camus


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Olivier Perriet Olivier Perriet 2 juillet 2015 13:38

@bakerstreet
« Il y a eu tout un processus depuis 30 ans d’aveuglement, de déni, de mensonges et de manipulations »

Certes, sans doute. Mais en fait on s’en fout puisqu’on ne refera pas l’histoire.

"Ce qui est nouveau dans l’histoire, c’est que la Grèce, qui était pendant longtemps le petit dernier de la famille, à qui on laissait tout passer, est confronté maintenant aux derniers entrées dans la famille, qui non seulement n’ont pas eu les subventions qu’elle a eu ( les plus importantes jamais données par l’UE à un membre, et de loin) demandent des comptes« 

Le problème ne serait-il pas cette pseudo famille ?
Une famille qui poursuit une marche forcée, à la manière de Che Guevara et de la révolution : »l’Union est comme une bicyclette, si elle s’arrête, elle tombe« . Quitte à intégrer les ex pays de l’Est en remettant les questions sensibles aux calendes grecques. Quitte à faire éclater l’Ukraine. Quitte à intégrer de force la Grèce à son système financier avec des truquages comptables de notoriété publique.

 »Mais arrêtons de verser des milliards nouveaux pour rien, qui devront pour la même raison être effacées« 
Allez le dire aux eurocrates, qui ne veulent pas, eux non plus, lâcher le morceau, car ça sera synonyme d’échec de leur projet »familial"


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