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Commentaire de bakerstreet

sur La crise grecque, les Européens et Camus


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bakerstreet bakerstreet 2 juillet 2015 15:47

@rosemar


Ce n’est pas moi qui est évoqué le premier ce passé nauséabond, cette dette de guerre allemande, mais Tsipras, renouant avec les pires ficelles du nationalisme, désignant un ennemi extérieur, un contentieux qui légitime que la nation fasse bloc.
Le plan Marshall, les aides européennes, tout cela oublié, pour se concentre sur ce point obscur, qui peut légitimer le pire. 
Hitlhler lui aussi développera une thématique à partir du traité ignoble de Versailles.
Vous me trouvez malhonnête ?...Je vous choque ?
Je suis désolé, mais ce n’est pas moi qui invente l’histoire, même quand celle ci à le hocquet. Tout cela a très mal été perçu en Allemagne, et s’avère un calcul brouillant et à courte vue. 
Bon, quand on sait que la clientèle de Tsipras n’est pas seulement composé de sa base, qui n’avait que 3 à 4% des voies il y a trois ans, et qu’elle a séduit des militants d’aube dorée, on comprend mieux la logique.
Inutile de dire ce que je pense aussi des justifications liée au passé mythique, celui du passé mythique, Platon, tout ce passé glorieux, mais instrumentalisé, voulant s’exonérer du présent. Un discours pour les ballots. C’est ce qu’on appelle de la démagogie. 
Un mot inventé lui aussi par des grecs qui n’étaient pas dupes !

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