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Commentaire de philouie

sur Bernard-Henri Lévy-Sarkozy : de la Libye à la Tunisie, de l'Elysée à la Cour Pénale Internationale


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philouie 2 juillet 2015 16:42

De toute façon, BHL, il a dit que dans toute révolution il y avait du sang et des larmes et que chez nous ça a duré 100 ans.
Donc, pour lui, que les gens s’entretuent après son passage, c’est tout naturel.
Lui, il s’en lave les mains. c’est pour la bonne cause.
en 2120 on le remerciera.
DE toute façon, ce ne sont ni ses larmes, ni son sang.

Quatre ans après la chute de Kadhafi, la Libye sombre dans le chaos. Vous qui aviez conseillé Nicolas Sarkozy à l’époque, éprouvez-vous des regrets  ?
BERNARD-HENRI LÉVY. - Aucun. Car Kadhafi c’était déjà le chaos, déjà l’absence d’Etat. Et c’était en plus une dictature féroce. Après, c’est vrai qu’on ne construit pas une démocratie en un jour. Il faut du temps. De la patience. Cela suppose du sang, des larmes, souvent des retours en arrière. Et la Libye en est, certes, encore à ce stade. Mais regardez la France. Il y a fallu vingt-cinq ans pour conclure 1789. Presque un siècle pour arriver à la République. Alors, j’aurais aimé, bien sûr, que les choses aillent plus vite. Mais qu’un pays délivré de décennies de tyrannie en passe par cette période de troubles et de tumulte était sans doute, hélas, inévitable.


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