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Commentaire de Marc-Antoine JEULLIAU

sur Apprenez la physique et devenez Nobel


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Marc-Antoine JEULLIAU Marc-Antoine JEULLIAU 4 juillet 2015 02:02

Pour qui n’aurait pas suivi l’histoire du Photon-Anneau-Soliton

Par la pensée se rendre dans l’espace, en apesanteur, avec un ballon de basket dans une main. Se dire que ce ballon est un électron au repos dans cet espace.

Toujours par la pensée, faire tourner rapidement ce ballon comme une planète possédant un champ magnétique et le pousser pôle nord ou sud en avant à grande vitesse sur une trajectoire rectiligne.

Dès lors imaginer qu’une bouée en anneau s’est matérialisée sur l’avant, autrement dit sur l’étrave du ballon et s’y maintient collée pendant tout son déplacement. Comprendre que de même que la vague d’étrave produite par un navire en mouvement sur une étendue d’eau ’’comme roule’’ sur cette étrave, de même notre bouée ’’comme roule’’ sur elle-même comme on le ferait d’un crayon entre ses doigts, et plus précisément comme une bague en caoutchouc mou que nous retirerions difficilement de notre doigt en la faisant tourner transversalement comme ladite vague, mais aussi et en même temps en la faisant tourner comme une chambre à air fixée à une roue tournant sur son axe. Le mouvement de ’’roulement transversal’’ de cette bouée fictive étant donné par le déplacement du ballon-électron dans le substrat emplissant tout l’espace, et sa giration de toupie lui étant donnée par celle du ballon illustrant le spin reconnu possédé par un électron.

La bouée étant la matérialisation de la vague d’étrave que le ballon-électron produit dans l’espace lors de son déplacement, cette vague d’étrave se détachera et poursuivra son chemin en ligne droite lorsque le ballon sera brutalement stoppé (ou changera de direction).

Dans la théorie non rendue publique que ce modèle introduit depuis plus de 40 ans, la bouée et ses deux ’’rotations’’ imbriquées modélisent ce que la physique contemporaine et l’optique ondulatoire appellent un PHOTON ou grain de lumière, quantum observé soit comme un ’’truc’’corpusculaire possédant un spin lui conférant une polarisation, soit comme une onde transversale. Ce qui est parfaitement rendu par le modèle réaliste proposé qui n’est probablement pas traduisible dans le langage mathématique, autrement dit formalisable.

Et c’est en gros ce que le long texte ci-dessus tentait d’expliquer en essayant d’être le plus près possible du phénomène, donc le plus précis possible. Mais bon ! Si cela semble encore tiré par les … je veux, c’est qu’en … minimum vieillesse et minimum santé, ne pouvant faire plus que ce que je peux, il semblerait qu’ici aussi cela irrite un Bohr né.


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