vos sources sont un site conspirationniste....
c’est pas ça qui INSTRUIT le peuple ; il le DESINFORME.
vous avez un sacré problème de vocabulaire.
tt votre bazar ne sert à rien, sinon à nous FEDERER contre vous. Merci !
s’il faut être plusieurs, c’est la PREUVE DE VOTRE GRANDE FAIBLESSE ARGUMENTAIRE, les pantins.
votre source est un prof de maths ordinaire qui se targue de politque. Or franchement ce ne sont pas des analyses, mais de la bonite à cirage ce qu’il écrit, comme ici :
A peu de choses près, Vladimir Poutine dit à la journaliste :
« Ecoutez-moi attentivement, il faut que vous compreniez une chose. Si cette décision a été prise, c’est uniquement pour défendre le peuple ukrainien. (...) Qu’ils essayent de tirer sur des femmes et des enfants, ils nous trouveront. Ils ne nous trouveront pas en face d’eux, mais derrière ».
Ce qui est intéressant dans cette vidéo est que l’on mesure parfaitement la différence de traitement de la crise d’un camp à l’autre, et que cette différence est édifiante. Le ton de Vladimir Poutine, son émotion, sa foi pourrait-on dire est palpable. Il parle de défendre les siens, pas de défendre un principe. Il y a le temps des négociations, des discussions sur le droit international, des réflexions sur les intérêts de chacun mais à cet instant, on est bien au-delà des contingences et de la comptabilité. L’argument n’est plus juridique ou politique, il est moral. Et c’est une morale plus proche de la nature que de l’intellect. C’est toute la grandeur d’un vrai chef d’état qui apparait soudain lorsque celui-ci est capable de vérité dans des circonstances exceptionnelles, lorsque soudain il parle de l’essentiel : des hommes.
Président d’une des plus puissantes nations, ses lèvres tremblent un peu, il est visiblement submergé par quelque chose d’ordre physique, terriblement réel et qui guide son action. On peut penser que c’est une feinte, que tout cela est mis en scène (ce qui est peut-être vrai, peu importe), mais le discours, son allure, son émotion, le regard de l’orateur, tout cela porte sur la grandeur, sur le sentiment d’un honneur, sur le sens d’une fraternité, sur le courage d’un homme d’action.
Ce courage se ressent même dans la disposition des lieux qui n’est pas anodine et qui révèle une volonté de vérité. Poutine n’est pas derrière un bureau ou un pupitre sur une estrade entouré de proches ou de gardes du corps, à une dizaine de mètres des journalistes comme les hommes politiques le sont habituellement pour se protéger d’une proximité qui les empêcherait de dissimuler leurs mensonges ou leur théâtre. Il est seul, collé aux journalistes, sans notes, à la même hauteur qu’eux. Il n’a pas la posture de celui qui vient dérouler des déclarations convenues devant des journalistes blasés et ronflants, il n’est pas là pour communiquer, il est là pour leur parler. Il peut presque les toucher. A cet égard, le gros plan de la journaliste à qui il répond est troublant. Elle écoute réellement parce qu’il lui parle réellement. On est à l’opposé de ce à quoi on est habitué du côté occidental, à l’opposé des grand-messes, du formalisme, de la mesure, de la temporisation, de ces paroles qui ne sont que des paroles dans l’autre camp, de ces paroles qui ne sont jamais animées, c’est-à-dire qui n’ont pas d’âme, parce qu’elles sont prononcées par des technocrates qui n’ont ni foi, ni idéal, ni courage, ni valeurs morales, ni convictions. Ceux-là font des mises en scène médiocres qui sentent le fard et la perruque enfarinée. Dans un camp on agit, dans l’autre on communique.
parler d’un Poutine « courageux » c’est ne rien avoir compris au gus. Le même genre de gus qui aurait baisé les pieds de Chavez ou actuellement d’un Maduro.
Égal c’est le mec qui écrit aussi « De la constatation la plus évidente (« Si Kiev n’avait pas de responsabilité dans le crash du Boeing, elle chercherait à connaître et faire connaître la vérité, car c’est dans son intérêt ») » en oubliant que les russes ont déjà donné deux versions différentes de la catastrophe.
ce genre de néo-stalinien a envahi le site du Grand Soir pour en faire un site rouge-brun. Les gauchistes et les anars bouffés par les thèses nationalistes, on aura tout vu en effet... c’est l’ouverure de la saison de la CONFUSION mentale, et les idées à la con de Reynouard sont hélas encore promises au succès avec de tels demeurés.