@charlie :
« Ne faites-pas le naïf ! l’histoire est absolument ...Les preuves historiques, les témoignages sont multiples, sont extrêmement nombreux. » (Alain Finkielkraut, Ainsi parlait, 23 novembre 2012).
Malheureusement pour Finkielkraut, par ailleurs incapable de nommer ne serait-ce qu’un historien de référence, les adversaires de Robert Faurisson se trouvent toujours divisés en deux groupes, dont un seul peut avoir raison ; ceux qui pensent que les preuves des chambres à gaz manquent ou ont été détruites :
Léon Poliakov, dans Bréviaire de la haine, 1951, page 171.
Dans Le Monde du 8 mars 1979, François Delpech écrivait : « Les archives des camps ont été en grande partie détruites. »
Simone Veil : « Au cours d’un procès intenté à Faurisson pour avoir nié l’existence des chambres à gaz, ceux qui intentent le procès sont contraints d’apporter la preuve formelle de la réalité des chambres à gaz. Or chacun sait que les nazis ont détruit ces chambres à gaz et supprimé systématiquement tous les témoins » France-Soir Magazine, 7 mai 1983, page 47.
Serge Klarsfeld, VSD, 29 mai 1986.
Arno J. Mayer, 1988.
Jacques Baynac, Le Nouveau quotidien, 2 et 3 septembre 1996.
et ceux qui pensent qu’il subsiste une abondance de preuves :
Georges Wellers dans Le Monde, 29 décembre 1978.
Pierre Vidal-Naquet, qui évoquait, dans Les Assassins de la mémoire, « un immense ensemble de preuves indestructibles ».
Éric Conan, dans L’Express, 19/25 novembre 1998.
Alain Finkielkraut, Ainsi parlait, 23 novembre 2012.
On a affaire ici à la « méthode » Dac-Blanche :
« Vous pouvez le dire ?
Oui.
Il peut le dire, magnifique, etc. »