@Fifi Brind_acier
bjr
La situation financière de la plupart des pays occidentaux, hormis les cas particuliers de l’Allemagne en raison de ses performances à l’exportation et des USA qui eu tiennent +- le rôle de banque centrale mondiale, représente ds une proportion réduite une forme atténuée les maux et symptômes dont est atteinte la Grèce,
schématiquement tertiairisation de l’économie, évasion fiscale, quasi faillite de l’état, désagrégation du contrat social, ingérence et mainmise étrangère sur les actifs de la nation, hypertrophie de l’influence financière mondialisée
livrée à un statut de colonie, poreuse, dépouillée de tte frontière.
Mises à part les causes les causes et l’aspect dramatique du sujet, mieux vaut Austerlitz que Waterloo, Wagram que la campagne de Russie,
les ’borders" constituent les limites du champ de bataille limitant la concentration des troupes ennemies et prêtent aux manœuvres tactiques.
Le contribuable ,épargnant, administré français, italien, espagnol, anglais assume non seulement la charge & responsabilité de la dette Grecque (détonateur d’une déflagration à venir) mais également celle de l’ensemble des dettes du sous-continent européen, autrement + conséquente si l’on s’en tient à son volume actuel et à sa croissance (liée en partie à la perpétuation des déficits et au poids des intérêts)
Une sécession ne dispenserait pas le ou les pays créanciers de leurs engagements financiers,
un défaut de paiement assorti d’un réaménagement si.
Ds les faits, l’exit souhaitable n’est ni celui de la Gréce, de l’Italie, qui sais-je mais en fait de l’Europe, ses institutions et de son carcan, l’€.