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Commentaire de bakerstreet

sur L'herpès de Tsipras


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bakerstreet bakerstreet 12 juillet 2015 10:39

@jaja

L’analyse marxisante a ses limites. 
Celle de la carte postale pour les nuls ;et de l’apprentissage du sertaki pour les masses laborieuses, s’il en existe encore.

On n’interprète pas de la même façon le saint homme selon qu’on soit assis sur le port du Pirée, à boire un ouzo, en regardant la flotte bénie des armateurs, ou qu’on soit à Moscou ou à Paris. 

La couleur locale, le folklore, faut y penser quand même !.

 Ca s’appelle la comora en Italie, mais en Grèce je ne connais pas le nom.
Peut être bien qu’il n’y a pas de non pour ça. 

Il est vrai qu’on a beau apprendre une langue, ça ne sera toujours que du vernis, vous n’accéderez jamais ou très difficilement à ce substrat qui plonge dans l’inconscient culturel, et qui fait que les choses n’ont pas besoin d’être dises, ou théorisés, pour être comprises à demi mot, à demi silence. 
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