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Commentaire de howahkan Hotah

sur L'herpès de Tsipras


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howahkan Hotah 13 juillet 2015 10:34

@GrandGuignol

oui tout à fait..au delà des mots qui disent cela, il y a quelque chose de concret à faire avec soi meme mentalement...ceci est pour moi pour l’instant LE point de basculement...

en gros lorsque je souffre la pensée croit que il y a moi d’un coté, et la souffrance de l’autre...ceci n’est pas c’est une illusion ,le réel de la situation est que il y a moi dont l’état est la souffrance..

en clair lé pensée refuse d’être ce qu’elle est...cette seule action néfaste de la pensée suffit à rendre notre monde personnelle et global dément..je ne peux refuser le réel qui par la meme est absolu comme le fait de la mort du corps ...

parenthèse ,j’ai vu dans ce que on appelle « insight » en anglais ,vision pénétrante ...la peur de la fin qu’est la peur de la mort disparaît quand il n’y a plus ce désir absolu de continuité généré par la pensée, c’est pourquoi jusqu’à un certain age les enfants qui n’ont pas encore développé ce désir puissant inconscient issu de la pensée non superficielle dont nous ignorons l’existence en général n’ont pas cette peur..

je dois souffrir, seule la souffrance peut résoudre la souffrance, la pensée ne le peut pas,bien que en étant le créateur inconscient .

ceci va amener toute une série d’événement imprévisible, c’est le retour au bercail de l’humain alors sous la « guidance » de ??????????????????????????

on quitte le connu qui est le domaine de la pensée et qui est absolument vital pour l’inconnu..qui est le domaine de nos capacités endormies

salutations et @++ smiley

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