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Commentaire de rebelkabdjames

sur Les lieux de culte musulman en France : La quadrature du cercle


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rebelkabdjames 27 juillet 2015 16:59

Salam et Bonjour les z’amis de la 7ème compagnie...complètement « perdue » !!

Pendant longtemps les musulmans priaient dans des caves (je connais des quartiers où ça existe encore !!) presque personne ne s’en était plaint !
Je ne suis pas un partisan de transformer ces églises en mosquées mais au lieu de faire comme d’habitude à savoir tirer à boulets de crachats sur les musulmans, que comptez vous faire de ces églises abandonnées ou désaffectées ??
Des centres commerciaux, des cafés, des pubs, des bars, des boites de nuit,
des maisons closes ?
Quant aux mosquées, c’est simple à comprendre, l’islam attire de plus en plus de français que vous le voulez ou non (même si je sais que ça vous fait ch....) et bien sur il existe diverses autres causes à cela notamment le manque de places dans les anciennes salles de prière.
En france il est interdit d’être raciste mais pas d’être musulman. Je dis tant mieux parce que moi les racistes (surtout les multi-récidivites) je sais bien ce que j’en aurai fait sans chichis et sans « excuses » : EXPULSION IMMEDIATE.
Ce gouvernement n’ose pas le faire parce qu’il a besoin des racistes (surtout anti-musulmans) pour mieux diviser les gens pendant qu’il torpille tout ce qui est bon à prendre, à « libéraliser », à vendre, à voler, et il dispose beaucoup d’armes pour vous soumettre davantage à sa politique....
Enfin pour finir, je vous fais partager cette citation du philosophe David Hume (tirée du livre de Pierre Bourdieu, Sur l’Etat. Cours au Collège de France 1989-1992, Raisons d’agir/Seuil, 2012, p.257-258) :


"
Rien n’est plus surprenant pour ceux qui considèrent les affaires humaines avec un oeil philosophique que de voir la facilité avec laquelle la majorité (the many) est gouvernée par la minorité (the few) et d’observer la soumission implicite avec laquelle les hommes révoquent leurs propres sentiments et passions en faveur de leurs dirigeants. Quand nous nous demandons par quels moyens cette chose étonnante est réalisée, nous trouvons que, comme la force est toujours du côté des gouvernés, les gouvernants n’ont rien pour les soutenir que l’opinion. C’est donc sur l’opinion seule que le gouvernement est fondé et cette maxime s’étend aux gouvernements les plus despotiques et les plus militaires aussi bien qu’aux plus libres et aux plus populaires".

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