@65beve
Mais non. C’est bien de toutes les mosquées
dont je veux parler. Ce qui n’a pas de sens c’est la distinction entre les
salafistes et les autres. L’islam, c’est celui des salafistes, qu’on pourrait
tout aussi bien nommer les fanatiques. L’islam c’est une religion qui forme
systématiquement, délibérément, au fanatisme, au totalitarisme, à la soumission
ou à l’élimination de tout ce qui n’est pas lui.
La fermeture de toutes les mosquées, tout
de suite après les massacres des 7, 8 et 9 janvier, aurait montré la
détermination gouvernementale de s’attaquer à ce seul véritable islam.
Ensuite on aurait sans doute pu rouvrir
quelques mosquées mais seulement après un examen sérieux de se qu’on y fait :
promotion de l’islam, le seul vrai - auquel cas, évidemment, la réouverture
aurait été impossible - ou bien réelle recherche de l’élimination des bases criminogènes qui sont constitutives de l’islam.
Mais autant dire que, dans ce cas, c’est à
une destruction de l’islam par ses propres membres qu’on assisterait, car je ne
vois pas par quelle aberration on peut honnêtement continuer de célébrer un
culte dont on condamne les bases théologiques.
Ce que je trouve lamentable, c’est qu’à
l’extérieur de l’islam des gouvernants prétendument laïcs tiennent à sauver les
apparences au moins autant, sinon plus, que les musulmans réellement
pacifiques, mais simples rêveurs, qui vivent en réalité hors de leur religion.
Ce qui est certain, selon moi, c’est que de
plus en plus, dans toutes les nouvelles comme dans les anciennes mosquées, ici
comme ailleurs, ce sont les vrais
musulmans qui exigeront qu’on
pratique le véritable islam, c’est-à-dire l’islam politique violent visant à établir sa domination sur le monde
entier.
Ce sont ces vrais musulmans qui,
aujourd’hui, sous des formes diverses, font avancer partout l’objectif de
toujours de leur religion.
Mon commentaire est déjà long mais je ne
peux le clore sans ajouter ce complément : les islamistes obtiennent le soutien
des gouvernants faux laïcs mais aussi celui
des institutions juive et catholique.
Dans ce dernier cas, c’est particulièrement
scandaleux mais parfaitement logique
car, si l’Église se fait complice des islamistes c’est parce que elle s’acharne à conserver ce qui reste indirectement
criminogène dans sa religion. Pire, elle le re-justifie et le réanime dans son
Nouveau Catéchisme.
Or, dans le christianisme, il n’y aurait
aucune difficulté à rejeter les bases criminogènes. A l’opposé de toute volonté
pacifiante interne à l’islam, il
s’agirait tout simplement d’en venir enfin à la religion pacifiée qu’avait
voulue Jésus de Nazareth. Il s’agirait de cesser de la déformer, de trahir
ce Jésus et les Évangiles écrits par ses disciples.
Développement ici :
http://www.blog.sami-aldeeb.com/2011/09/18/benoit-xvi-premier-responsable-de-la-violence-religieuse/