@eresse
Personne ne peut prétendre connaître toute l’histoire. Du moins de l’islam.
Et je n’ai jamais dit l’inverse. Cela vaut de même pour n’importe quelle personne.
Il n’y a pas d’excommunication en islam, soit on y adhère soit on la quitte.
Point de contrainte en religion. Du moins en Islam.
Ceux qui sont mécréants ont faits un choix qui ne leur a pas été imposé.
Idem pour les croyants. Cette croyance suppose l’existence d’un jugement mais auquel le croyant n’y échappera pas non plus. Si tu ne respectes pas le code de la route ou le code pénal tu seras également amené à être jugé et si tu as été reconnu comme coupable tu pourrais être passible d’une peine d’emprisonnement peu importe que tu adhères ou non à ces codes juridiques. Cela vaut de même face à Dieu. La liberté de croire ou non ne suppose pas que tu y échapperas au jugement mais cela te laisse la possibilité de croire en Dieu ou non jusqu’à ta mort. Il n’y a pas de liberté sans responsabilité. La liberté est conditionné selon les principes du droit. Il n’y a pas de liberté totale ou absolue.
Puisque l’on parlait d’histoire, il n’y a pas eu d’inquisition(s) dans les contrées musulmanes.
Par contre, il y a eu effectivement des conflits intereligieux.
Sans compter les guerres au nom de telle civilisation, de telle valeur, de la démocratie, de la république, de l’idéologie raciale, de telle idéologie, etc...
La plupart du temps, ces états et régimes dynatiques se servent de la religion pour leur propre pouvoir tout en commettant des actes qui sont contraires à ladite religion.
De même, la science a certes fait des progrès mais elle a inventé des armes capables de détruire des vies humaines. On ne peut pas condamner la science en elle-même mais seulement les scientifiques qui ont élaboré ces armes au service de leur état. On peut croire en la science mais on ne peut pas fermer les yeux sur la façon dont elle est instrumentalisée à des fins militaires. Cela vaut de même pour les religions ou autres. En islam, certains états se comportent comme une sorte d’église ou de vatican à l’égard de cette religion. C’est ce à quoi je m’oppose et c’est à cela que je faisais référence dans mon premier commentaire. La religion comme la démocratie appartiennent au peuple du moins à chaque individu.