L’élément essentiel de Oligoscan est un scanner optique portable avec
lequel le praticien teste quelques points de la peau du patient, par
exemple, quatre points de la paume de la main. Au moyen de la
spectrophotométrie, autrement dit de la fluorescence des tissus, est
déterminée la concentration « intracellulaire » de 36 éléments chimiques.
Dans les vidéos de publicité, on peut voir, lors de l’utilisation du
scanner, qu’un bref flash de lumière est émis sous celui-ci ; en
conséquence, celui-ci servirait à stimuler la fluorescence qui serait
ensuite soi-disant mesurée. En ce qui concerne les éléments, il s’agit
des minéraux calcium, magnésium, phosphore, silicium, sodium, potassium,
cuivre, zinc, fer et manganèse, des oligo-éléments chrome, vanadium,
bore, cobalt, molybdène, iode, lithium, germanium, sélénium et soufre,
et pour les « métaux lourds » aluminium, antimoine, argent, arsenic,
baryum, béryllium, bismuth, cadmium, mercure, nickel, platine, plomb,
thallium et thorium. Peut-être parce que l’aluminium et le baryum ne
font pas partie des métaux lourds, Physioquanta utilise dans la
publicité récente le terme de « métaux toxiques ».