à Pascal L
Ma définition de la théologie criminogène :
Dieu a appelé mais n’appelle plus (pour
les juifs, les chrétiens et les bahaïs) ou continue
d’appeler (pour les musulmans) à maltraiter et à tuer des êtres humains.
La réanimation de la théologie criminogène
dans le Nouveau Catéchisme est une décision d’autant plus folle qu’elle n’est
pas, et n’a jamais été, un dogme.
N’étant plus chrétien mais resté
profondément « jésuïste » (je ne dis pas jésuite) je raisonne sur la
religion en regardant la situation du monde. Elle est religieusement dramatique
: des croyants du monothéisme tuent abondamment au nom de Dieu.
Pour ne pas désespérer on peut au moins
souhaiter que ceux qui se réclament des Évangiles, c’est-à-dire du message de
Jésus de Nazareth - lequel a donné sa vie sous la torture pour tenter de le
faire passer - comprennent enfin le plus important de son contenu : Dieu n’appelle pas et n’a jamais appelé à
maltraiter et à tuer. Il appelle à l’amour universel, à la non-violence et
à la paix.
Le judaïsme, ou pour être plus précis « l’hébraïsme », a
créé la théologie criminogène du monothéisme dans les textes de l’Ancien
Testament. Il a divinisé, sacralisé et
dogmatisé des actions humaines criminelles.
Le christianisme ne les a pas, comme le
voulait Jésus, dé-divinisées,
dé-sacralisées, dé-dogmatisées. Il faut le faire, aujourd’hui plus que
jamais alors que la criminalité religieuse est de plus en plus mise en
pratique, s’étend partout dans le monde, et devient de plus en plus barbare
dans sa forme.
Ce sont principalement et très logiquement
des musulmans qui tuent au nom de Dieu puisque c’est leur prophète et les
rédacteurs du Coran qui ont relancé la théologie criminogène en l’affirmant valable jusqu’à la totale
soumission des peuples du monde à leur Dieu Allah.
Mais au lieu de réaliser enfin la triple réforme pacifiante,
l’Église catholique a réinscrit et
rejustifié la théologie criminogène dans son Nouveau catéchisme. Elle se
rend ainsi, même si c’est indirectement, complice de la criminalité islamique.
De son côté le judaïsme s’en rend lui aussi
complice, même si c’est là encore indirectement, en maintenant dans ses
croyances la théologie criminogène créée dans l’Ancien Testament.