@MAIBORODA
Bonjour Jean.
Et merci. Je commençais à me sentir un peu seul avec mes songes par rapport à A. Adler. Je vois que vous testez avant de boire.
Je ne reviendrai pas sur Poutine, il fait son job comme peu de chefs d’états le font, il doit y avoir des raisons. L’improvisation flagrante de la geo-stratégie états-unienne depuis la chute du mur a fini par contraster sèchement avec la continuité, anachronique peut-être, mais réelle et monolithique de l’Empire russe. Une insupportable insolence.
Et que l’on approuve ou non ses prises de position, ce qui est un autre problème, Vladimir Poutine incarne cette insolence qui renvoie l’occident à son échec intrinsèque. Or il n’est pas bon de vexer les puissants, fussent-ils éphémères et au final pas si puissants que ça. D’où les chiens de faïence actuels.
Il m’étonne que vous répondiez à Morice, que j’ai fini par ignorer. Il a cependant l’avantage de faire ressortir, en même temps que ses névroses propres, des psychopathologies insoupçonnés et aussi affligeantes qu’intéressantes chez les uns et les autres.On retrouve les chiens de faïence, rien à en attendre.