Ni shoot, ni parodie, juste un ras le bol de cet envahissement programmé qui va nous submerger.
Et si encore on avait le moyen de stopper cette hémorragie, passe encore, mais rien ne pourra arrêter ou même contenir ce flux migratoire.
Et de voir des enfoirés de politiciens nous demander d’accepter notre suicide avec gentillesse et égards pour ces gens avec lesquels nous ne partageons rien, sinon nos avantages sociaux et qui vont nous éliminer nous et nos coutumes et nos traditions, là c’en est trop.
Et pourtant, quoi que l’on en pense nous sommes désormais victimes de cet afflux de tout ce qui existe de bassesse, de vulgarité, de sauvagerie, c’est la lie de l’humanité que nous accueillons.
Nous n’avions pas besoin de ça. Notre sous-prolétariat nous avions réussi à le transformer au prix de plusieurs décennies et dans un contexte économique favorable, mais cette fois ci ce ne sera pas possible.
En ce qui me concerne, je n’en veux plus de ces musulmans aux mines patibulaires, violents, encapuchonnés ou voilés, agressifs en toutes circonstances, prosélytes, envahisseurs, sans éducation, et qui sans scrupules profitent d’un système que nous avons mis des années à mettre sur pied, jour après jour à la sueur de nos fronts et qui nous traitent allégrement de racistes.
Alors oui, je suis raciste et je n’en ai pas honte et je ne suis pas le seul dans mon entourage, tout le monde en a ras le bol.
Trop c’est trop.
Je me rappelle de ces premières générations des années 50 et 60, gentils, polis, aimables qui ne souhaitaient que s’intégrer et que nous avons accueillis, eux, à bras ouverts. Nous avons grandis avec leurs enfants au collège ou sur les stades et c’était de bons copains.
Mais ces nouvelles générations sont de la pure vermine et nous allons en crever.
Tout le monde sait que toutes les drogues transitent par les cités qui sont à 90% musulmanes remplies d’immigrés qui vivent dans des appartements sociaux qui ne leur coutent pratiquement rien en plus des allocs et du reste.
Quand je vois ces jolies filles de chez nous au bras de ces méchants singes, c’est plus fort que moi, je n’arrive pas à l’accepter.
Vous n’en avez pas marre ?
Et je vais encore avoir des rigolos qui vont me dire que je débloque.