@alinea
Je crois que vous confondez burqua et tenue d’apicultrice, ce qui est bien normal vu que vous vivez à la campagne.
Des Burquas, moi j’en ai vu en Afghanistan dans les années 70. Un bail quand même.....Non, ce n’était pas un mirage comme vous semblez le croire. Je n’ai même vu que çà, ces épouvantails apeurés, en guise de femmes, qui se cachaient silencieuses de l’étranger, souvent, au fond des maisons. L’Afghanistan était resté sur un mode de clans féodaux, une sorte de mosaïque figée dans le temps et les traditions millénaires, identique à celle que Anne marie schwarzenbach et Ella Maillard découvrirent dans les années 30. Toutes deux traduirent leur expérience en écrits qui n’ont rien perdu de leur beauté et de leur force.
Etoile fuyante - LibérationEn Turquie, en Iran, on pouvait discuter avec des femmes. Elles étaient à visage découvert, étudiaient, avaient tout de femmes modernes. On sait ce qu’il est advint ensuite quand la chape de plomb islamiste tomba sur le pays, comme un voile noir, dont les millions de réfugiés sont aujourd’hui l’écume, au même titre que les juifs qui fuyèrent l’Allemagne nazi !
J’aurais bien été stupéfait comme tant d’autres, si l’on m’avait dit que c’était l’Afghanistan qui allait imposer son modèle....De force, cela va sans dire...Je vous dis ça au grand angle, pour reprendre votre métaphore photo.
J’avoue que j’ai du mal à vous suivre dans vos étranges élucubrations cousues de fil noir, et fascisantes. Il y a là des propos qui sont tellement discordants avec d’autres contenus et d’autres pensées, qu’il y a forcément un mensonge quelque part.
Et voilà que par un curieux retour des choses, les réfugiés maintenant ne fuient pas l’Allemagne, mais la conçoive en terre d’accueil. Comme quoi, le film n’est jamais fini !