Le rôle d’épouvantail assigné au « chômage » par nos « responsables » passés et présents manifeste en fait toute l’étendue de leur cynisme.
La mécanisation, la robotisation, l’automatisation et l’informatisation des tâches ont permis d’optimiser et de maximiser à des niveaux jamais atteints la rentabilité des processi productifs, tout en faisant l’économie de la plus large part de la main d’œuvre qui y était traditionnellement associée.
La variable d’ajustement du « chômage » est structurelle depuis bien longtemps mais, en occultant l’exclusion du travailleur de tout le bénéfice de cette évolution technologique qui lui substitue des robots et des logiciels, elle justifie la toute puissance de quelques grands acteurs transnationaux à programmer notre appauvrissement et notre asservissement généralisés.
Arguer de la lutte contre le « chômage » pour détricoter le code du travail n’est qu’une arnaque de plus de nos $ociali$tes en version 2.0 et de leur hidalgo pour fancy-fair !
Car si ces mesures prétendent, comme à l’accoutumée, soutenir PME, indépendants et artisans, elle les exposent en fait toujours plus au rouleau compresseur d’une concurrence mondialisée et massive de ces grands acteurs transnationaux qui dictent leurs lois et standards aux instances de l’Union €uropéenne et de ses états membres, ...pour le plus grand malheur de nos villes et campagnes !