@ddacoudre
bsr
« comment le capitalisme s’y prenait ... »
tt simplement en ponctionnant les populations lors des phases d’effondrement de l’accumulation (intumescence) de capitaux spéculatifs
la confusion entre investissement productif, comportant une nécessaire composante spéculative, et spéculation intrinsèquement spéculative (ie investissements ds l’art) est une approximation courante, la doxa incontournable, fort répandue depuis l’avènement des thèses libérales
une autre approche tt aussi hasardeuse consiste à considérer que la répétition des cycles aboutira par nécessité (forme de fatalité eschatologique) à la désintégration du système capitaliste
le propre des cycles réside ds leur nature répétitive et non vectorielle (du moins cette approche est à relativiser si l’on s’arête aux notions d’échelle et de volume)
de ce point de vue, « tant qu’il y aura des hommes » et des femmes disposant d’un capital issu de leur travail, renouvelable par cycles,
ou puiser les ressources financières au moment opportun (que ce soit par la ruine, la dette ou l’impôt ) perdureront les phases spéculatives et de crises éco-boursières.
l’effort de guerre, par exemple fournit, un alibi efficace et idéal à ce type de spoliation
le capitalisme perdurera aussi longtemps que l’existence de ce fond de garantie que constituent les populations laborieuses, ce terme inclut également les artisans, commerçants, professions indépendantes et une fraction des csp+
adage
« s’il n’y a pas de solution c’est qu’il n’y a pas de problème »