@Trelawney Le problème est que presque tout ce que vous dites est approximativement vrai, en dehors de la conclusion.

Oui il y a une espèce humaine, oui la variabilité génétique entre deux individus de même couleur peut être plus importante qu’entre deux individus de couleurs différentes,mais il en va exactement de même pour toutes les races au sein d ’une espèce animale.
Si ce que vous dites sur l’inanité du concept de race était vrai autrefois, on sait désormais grâce à la science, que les races existent, ce par quoi elles sont précisément déterminées, un phénotype dominant au sein d’une population donnée.

On sait qu’elle n’ont pas qu’une importance limitée d’un point de vue génétique. On ne peut les hiérarchiser. Sauf en terme de bio diversité le cas échéant.
Ainsi, il est évident qu’il y des races noires et blanches. C’est tellement vrai que pour certain médicaments, on préconise de varier les doses en fonction de l’appartenance. Les immunités à tel ou tel virus ou maladie varie, etc...
Pour des impératifs de santé publique, les problématiques tournant autour de tous cela sont appelée prendre de l’importance.

Donc les races existent, on sait ce que c’est et cela n’a pas énormément d’importance pour les impétrant d’un seul point de vue scientifique, même si ce n’est pas du tout neutre.

Mais il y a en plus des aspects subjectifs important. Parce que les apprentissages sont mimétiques, parce que René Girard nous a appris que les comportement de Désir sont d’abord calqué sur ceux des plus proches, c’est à dire en général des parents, il est évident que les phénotypes différents présentée par les différentes population humaines peuvent avoir des répercussions sur le « vivre ensemble ». Vouloir interdire les mots même qui permettent de dire ces question conduira tôt ou tard à de la violence.

Ma pastrice à Moscou envisageait d’adopter un enfant. Cela tombe bien, les lois russes créent des foules d’enfant à adopter. Mais elle ne voulait pas. Elle est malgache et elle voulait un gosse qui lui ressemble de préférence. C’est fréquent quand le choix existe. Ce n’est pas du racisme, c’est humain à bien des égards. Il y a eu je crois le cas de deux lesbienne faisant un procès parce que ’une PMA leur a donné un gosse « pas de la bonne couleur ».

Pour prendre un autre phénotype à un autre niveau, il est clair qu’au fond, c’est mal d’avoir envie d’une brune plus que d’une blonde. C’est subjectif. On ne sait pas très bien d’où cela vient. On peut envisager des campagne d’éducation pour diminuer ce genre de stigmatisation. Il est clair que l’interdiction brutale entrainerai sans doute des guerre civiles.

Aujourd’hui, la définition du mot race dans le Larousse contient deux paragraphes qui se contredisent l’un l’autre...Les déclaration de certains courants idéologues sur la défense de la bio diversité et l’interdiction du mot race sont aussi contradictoires.

Enfin, en ces temps de mondialisation incomplète, il est non moins évident que d’un point e vue statistique, il y a encore des correspondance entre des phénotypes et des modes de vie ou des religions. Ainsi, les adeptes du culte du Cargo ont des apparences communes qui font que je ne risque pas grand chose à risquer l’idée que Merkel n’en fait pas partie.

A nouveau, on peut penser que ces contradictions ne sont pas grave. Mais c’est avec les injonctions contradictoires que l’on rend les gens fous et violents. C’est ce que va provoquer l’antiracisme bétassou.

La vraie question est de savoir si c’est délibéré ou pas.