ah on l’attendait le nartic de l’expert international de la thermodynamique,de la physique des particules subatomiques et de la fonderie réunie.
petites reflexion sémantiques
quand on dit trou, on a presque l’impression que la cuve fuit façon passoire.
or un REP fonctionne de mémoire approximativement 150 bar et 300°c . il ne peut donc y avoir de trou non detectables dans une cuve en fonctionnement (façon cocotte minute)
Ce ne sont donc pas des trous, mais des cratères de moins d’1 cm dans une cuve qui en fait 18 (d’après des données de l’auteur) probablement du a des phénomène de corrosion du a la radiolyse de l’eau.
après n’ayant pas de thèse de doctorat sur la résistance d’une cuve soumis a un flux neutronique pendant 40 ans, je vais laisser a l’inspection suisse de surete nucléaire faire son job pour se prononcer sur le mise aà la retraite ou non du réacteur.
Mais au fait pourquoi arréter fessenheim ? pas de problème de cuve apparement.