@julius 1ER
Très juste. ....Il faut savoir aussi que la version de « Mein Kampf » destinée au public français, était une version tronquée. Pourquoi ? Parce qu’elle était impubliable, trop révélatrice pour les français, que l’adolph les avait dans le nez. Les propos ne souffraient aucune ambiguïté, et indiquaient clairement que la france était l’ennemi à abattre, responsable de la crise allemande à partir du traité honteux de Versailles....L’édition française sera donc une version expurgée, « soft », presque transfigurée....Pourtant il suffisait de traduire dans le texte la version originale pour être alerté par le dessein évident. C’est ce que fera un petit éditeur français, qui se fera interdire de publication par Hitler, sous prétexte d’atteinte au droit d’auteur.....Il sera donc sonné de détruire ses volumes....Forcé, il s’exécutera, sans pour autant courageusement envoyer tout de même un exemplaire aux députés et parlementaires pour les mettre en garde. Ce qui sera suivi d’aucun effet !
Quand au génocide, il a bien sûr une finalité économique. On l’oublie souvent, mais l’argent est omniprésent dans l’affaire, et autant la conquête des territoires à l’est, afin de permettre à la race aryenne de se démultiplier. Dans ce sens, le génocide obéit à une obligation économique. Il s’agit bien sûr de se mettre à l’abri de toute poursuite future, ce qui explique la planification et la systématisation du crime à toute la population. Les motifs raciaux n’ont été inventé que pour amuser la galerie, et sans doute permettre aux criminels sous fifres de se déresponsabiliser de tout crime moral, et de se prendre même pour des héros.
Le comble dans l’histoire, ou dirons nous l’ironie : C’est que Merkell au nom du peuple allemand assume totalement la barbarie et l’ampleur et la gravité du crime, alors que c’est le président d’un état représentatif des victimes, qui est dans le déni et la manipulation.
Qu’est ce que cela veut dire ? Sans aucun doute qu’Israël traverse une grave crise morale, et une recherche de sens, ne produisant qu’une caricature de solution politique !
A sens unique dirions nous, et c’est un euphémisme.