Bien d’accord sur le rétrécissement des espaces
qui est une violence en soi mais au fait, on doit se foutre (sic) de quelles lois ? Le label « gratte et castagnettes » ne
garantit rien hormis des films à l’eau de rose, des navets qui ne plaisent
qu’aux couillons enfermés dans leurs murs et rêvant d’exotisme.
L’on se mélange parfois allègrement dans
le Sud pour faire des affaires ou de la musique. D’ailleurs dans le cas de ma
famille par ex : les deux, mon Capitaine avec le jazz manouche
diffusé avec force.
Les amis, cela se choisit et c’est « pas toujours et pas avec tout le monde »... comme pour n’importe qui !
Dans le monde réel, les « gens du voyage » sur lesquels il y a focalisation, ne sont pas des humains à
part, bénéficiant contrairement aux autres de qualités diverses.
Sortons des généralités, quelles lois
peuvent être bafouées ?
Celles qui détaillent la longueur du fil à
couper le beurre, généralement élaborées par les commissaires européens ? Celles
non écrites qui nous étouffent dans une société livrée aux manipulations et
formatages de toutes sortes ou celles qui organisent tant bien que mal « le vivre ensemble » pour des
millions d’individus ?
Dès que nous sommes 1+1 , il y a des lois tacites pour cohabiter. A l’échelle
d’un groupe vivant en forêt, c’est moins
complexe. Pas de simagrées puisque l’exclusion a très vite des conséquences
dramatiques, chacun gare ses fesses par peur des conséquences. A l’échelle d’un pays, on met en prison. Nous ne sommes pas devenus des êtres de lumière même si chacun peut faire des efforts pour que notre espèce puisse avoir de l’espoir dans l’avenir.
C’est Brassens anarchiste qui
affirmait l’être au point de bien faire attention à toujours marcher dans les
clous. Ma liberté s’arrête là où commence celle des autres.
Pour en terminer avec les idéologies qui
pourrissent la réflexion, il faut juger uniquement sur les actes et
non sur l’origine des uns ou des autres.
Cest Ferré qui a dit que la gauche était une salle d’attente pour le fascisme, on en fait l’expérience depuis l’ajout du délit de penser...