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Commentaire de bakerstreet

sur Moirans : après la justice, l'Etat doit agir


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bakerstreet bakerstreet 25 octobre 2015 09:04

@alinea
Bon, je vous préfère en passionara quand vous dévoilez vos blessures et votre sensibilité, que dans cette moulure pleine d’aigreur et de ressenti, qui mettait en avant ses problèmes passés pour justifer le n’importe quoi. C’est pas que je me prétende un vigile des valeurs, mais tout de même, j’ai eu une conception parfois innée du bien, du mal, et surtout des escrocs qui tentent de s’emparer de l’émotionnel pour justifier leurs prédations. Peut être est du à mon ancien job, mais les psychopathes, si vous retirez la loi, rapidement, vous vous retrouvez à poils pour leur avoir fait l’aumone, ou abriter chez vous. J’ai tant d’exemples que je pourrais être aigri. Mais l’aigreur, elle, vient de se faire rouler....Quand vous réagissez vous êtes sauvé. Vous m’avez reproché la dernière fois d’être bien meilleur quand je parle de poésie et de vélo, mais je sens bien que si je veux continuer à parler de cela, il faut que je reste sur mes gardes. Même quand je fais du vélo, il y a peut être un killer on the road derrière moi qui va surgir, comme disait Morrison. 

Alors peut être que je me met en colère parfois et que mes propos sont malhabiles aussi, mais comment pourrait il en être autrement avec ces post qui ont le tranchant du couteau, et qui immortalisent la colère d’une minute et d’une réaction. 
Mais surtout ne cherchons pas à nous plaire à rentrer dans une coterie ou nous nous priverions de dire ce que nous pensons d’un billet. Il faut savoir qu’ils sont très circonscrits dans leur valeur, et qu’ils obeissent sans doute à une dynamique. Même si dans la réaction nous mettons quelque chose de nous. Et c’est peut être parfois dans les réponses dérangeantes qu’on se réexamine qu’on peut s’interroger sur son propre langage, sur ses lignes de défense, qui nous révèlent, par effet rebond. Chaque sujet parle de nous. Que ce soit Poutine ou les gitans. Il y a là à chaque fois un scénario qui se met en branle qu’on s’empare où l’on se projette, cherchant parfois à réparer des choses, à s’en servir pour jeter les bases d’un monde meilleur peut être un peu fantasmé, et qui le devient de plus en plus dans des polémiques et des fantasmes successifs, où nous raccrochons moults wagons. Mais si nous n’étions pas dérangé dans ce qu’on dit, nous nous enfoncerions tous dans notre ornière. C’est la rançon des puissants, qui ont une telle cour autour d’eux pour les flatter dans leur bêtise, qu’ils finissent par se sentir génial, et absolument seuls. 
On a tous quant même peut être deux cotés, et si vous me préférez sur mon vélo, disons que je vous préfère sur votre cheval...

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