salut
je lis ceci : D’autres, désormais beaucoup plus nombreux − ceux qui ont accepté l’économie de marché − se demandent etc..
alors bienvenu dans un monde de conflit permanent, de vol permanent, de violence permanentes, de guerres permanentes, de misère qui tue, de famines et de chômage voulus et organisés, de tortures physique et mentales..bref bienvenu chez ce qu’est devenu l’humain...un dément et un criminel parfait..
qui dit...c’est pas moi ou si c’est moi c’est pas de ma faute...
disparu, à la trappe le libre arbitre..
alors si c’est le seul monde proposé, armons nous tous et sus à l’ennemi et supprimons toutes les lois....car notre nature est d’être criminel..L’Origine au delà du temps aurait accouché d’un tel cafard ? impossible...ma rencontre avec l’énergie Originelle est la paix totale....
cadeau, des mots du temps ou nous ,enfin certains, avaient encore un cerveau ...
Rappelle-toi Barbara
Il pleuvait sans cesse
sur Brest ce jour-là
Et tu marchais souriante
Epanouie ravie ruisselante
Sous la pluie
Rappelle-toi Barbara
Il pleuvait sans cesse sur Brest
Et je t’ai croisée rue de Siam
Tu souriais
Et moi je souriais de même
Rappelle-toi Barbara
Toi que je ne connaissais pas
Toi qui ne me connaissais pas
Rappelle-toi
Rappelle toi quand même ce jour-là
N’oublie pas
Un homme sous un porche s’abritait
Et il a crié ton nom
Barbara
Et tu as couru vers lui sous la pluie
Ruisselante ravie épanouie
Et tu t’es jetée dans ses bras
Rappelle-toi cela Barbara
Et ne m’en veux pas si je te tutoie
Je dis tu à tous ceux que j’aime
Même si je ne les ai vus qu’une seule fois
Je dis tu à tous ceux qui s’aiment
Même si je ne les connais pas
Rappelle-toi Barbara
N’oublie pas
Cette pluie sage et heureuse
Sur ton visage heureux
Sur cette ville heureuse
Cette
pluie sur la mer
Sur l’arsenal
Sur le bateau d’Ouessant
Oh Barbara
Quelle connerie la guerre
Qu’es-tu devenue maintenant
Sous cette pluie de fer
De feu d’acier de sang
Et celui qui te serrait dans ses bras
Amoureusement
Est-il mort disparu ou bien encore vivant
Oh Barbara
Il pleut sans cesse sur Brest
Comme il pleuvait avant
Mais ce n’est plus pareil et tout est abîmé
C’est une pluie de deuil terrible et désolée
Ce n’est même plus l’orage
De fer d’acier de sang
Tout simplement des nuages
Qui crèvent comme des chiens
Des chiens qui disparaissent
Au fil de l’eau sur Brest
Et vont pourrir au loin
Au loin très loin de Brest
Dont il ne reste rien.