@Gasty
« Ou est la nature dans tout ça ? »
Vous voulez dire ou est votre vision de la nature, vous qui ne subirez jamais la prédation ?
Parce que pour nous la vision de la nature elle est claire :
En France, 84 % des surfaces classées en « haute valeur naturelle » correspondent à des zones d’élevage en plein air CNRS
la disparition des systèmes traditionnels de pâturage tend à s’accompagner de pertes importantes de biodiversité. » FAO
Le pastoralisme constitue un exemple de secteur d’investissement au sein duquel le double objectif de développement et de conservation de la biodiversité peut être atteint UICN
Elle est même a milles lieux des restrictions du pastoralisme envisagées pour la survie des grands prédateurs :
e pastoralisme - la production extensive de bétail dans les pâturages - offre d’énormes avantages à l’humanité et devrait être considéré comme un élément majeur de la transition mondiale vers une économie verte.
Les lois et la gouvernance liées aux ressources des grands pâturages libres devraient être améliorées à l’aide du renforcement des capacités et de la sensibilisation en vue d’une meilleure application des lois nationales (notamment l’alinéa 8 de l’article L-113-1 du code rural Français : "l’état s’engage a protéger les troupeaux des attaques de loup et de l’ours dans les territoires exposés a ce risque. ndlr), la création d’institutions de gestion des ressources naturelles, et l’autonomisation des éleveurs à travers le partage des connaissances et le respect de leur consentement préalable, libre et éclairé.
Mais là il s’agit de démocratie : la création d’institutions de gestion des ressources naturelles, et l’autonomisation des éleveurs à travers le partage des connaissances et le respect de leur consentement préalable, libre et éclairé.