Sinon, il faut aussi savoir que l’UPR est un mouvement « temporaire », notre but
n’est pas de perdurer mais de rendre à la France et aux Français un
pouvoir décisionnaire, la « souveraineté » qui lui a été arrachée sans son
consentement par l’Union Européenne et le système financier français. L’UPR n’est là que pour rétablir
la démocratie, ce n’est pas un parti politique comme les autres. C’est un parti exceptionnel qui va au-delà des considérations politiques.
Ce qui est fondamental à savoir, c’est que les français n’ont plus
aucun choix politique. Certes, les gouvernements peuvent décider
d’ouvrir le mariage civil aux homosexuels, mais est-ce vraiment ce qu’on
attend d’un gouvernement ? Sérieusement ? Aujourd’hui nos représentant n’ont plus
aucun pouvoir, tout est décidé par l’Union Européenne et son système apatride français, le tout commandité par un pouvoir plus grand, plus secret situé à Londres et en Arabie saoudite, ce qu’on appelle plus communément l’ordre mondial. Pendant que tout
le monde parlait du mariage pour tous, on vote dans le même
temps, l’ANI (Accord National Interprofessionnel) qui met implicitement
fin au CDI : on en a absolument pas parlé, mais désormais, au nom de la
« flexibilité de l’emploi » que les directives européennes ont imposée,
tout salarié peut être licencié s’il refuse d’accepter que son employeur
lui impose une baisse de salaire ou une augmentation du temps de
travail pour cause de difficulté de l’entreprise. C’est la « flexibilité »
à l’européenne, qui découle de l’impératif de « compétitivité » exigé
dans les traités européens.
1940 ou 2015, il faudra résister !