Une version un peu plus élaborée que la moyenne de la vulgate « C’est la faute, de l’occident, du religieux (mais pas de l’islam...encore un qui n’a pas du lire les expéditions du prophète...mais quelle importance, au fond, mais pour d’autres raisons, je ne pense pas effectivement que ce soit d’abord l’islam notre problème, mais ce serait long et compliqué..),mais également du capitalisme, du libéralisme, D’Israël. »La violence n’est pas vraiment bonne, mais ici, ce ne sont pas ceux qui la perpètrent qui sont responsables...« 

Mais mon brave monsieur, l’Asie a-t-elle été moins colonisée, moins exploitée, et travaille-t-elle moins aujourd’hui pour nous fournir notre ration quotidienne de consommation à des prix défiant toute concurrence ?

Les pays d’où se développent le »jihad« , nous vendent, pour certain d’entre eux, du pétrole, aux prix du marché, so What ? Pour l’essentiel, ils se servent de cet argent pour nous acheter de la bouffe des médocs, and co, qu’ils ne savent pas produire eux même ( et ce n’est pas la colonisation, la Chine aussi a été impérialisée...L’inde exploitée, et l’indochine mise en coupe réglée).

Vous êtes en train d’essayer de me convaincre que les jihadistes sont peut être autre chose que des gens violents avides d’argent et de pouvoir qui se servent de paumés pour mettre en œuvre leur tactique de prise du pouvoir...

Pourquoi appliquer vos brillantes idées aux Nazis ? Après tous, eux aussi avait »connu une extrême pauvreté, après une guerre perdue face à des impérialistes libéraux anglo saxon, et leurs excès n’était peut être que le reflet de leurs frustrations, de la violence première du système et de leurs problèmes économiques.

Je me refuse de peser avec vous et dans vos fines balances les éventuelles excuses ou la légitimité respective de notre démocratie et de leur « bien compréhensible révolte ». Vous nous faites du Taubira à l’international.

Personnellement, je souhaite qu’on les mette hors d’état de nuire à nos gosses dans les restau et salles de concert. Ensuite, je les livrerai à vos jugements amicaux et compréhensif. D’ici là ceux-ci me semblent, comment dire ? Un tantinet déplacés...