Bien vu :
"Autrement dit, le harcèlement est dans de très nombreux cas la
conséquence ultime d’une situation où l’un des protagonistes de la
relation refuse de se laisser manipuler ou ne donne plus suite aux
manipulations dont il a été l’objet. «
>> (à moins que les manipulations antérieures ne soient que des métastases préparatoires)
et :
» Ainsi, le pervers utilise le langage non pas pour établir un lien avec
autrui, ce qui serait pour lui source d’angoisse, mais pour conforter le
pouvoir qu’il s’octroie sur son entourage«
>> ( cf cette règle de politesse -art de vivre- souvent oubliée qui voudrait que personne ne monopolise la parole _ Clin d’oeil à notre mascarade électorale : qui laisse la foule ne s’exprimer officiellement,par onomatopées - oui/non, Untel/TelAutre- qu’en de rares occasions méthodiquement orchestrées, alors que des plus-égaux-que-la-masse parlent tout le reste du temps au nom de tous )
Quant à »savoir précisément de quoi le harcèlement est le symptôme", j’oserais suggérer :
- la vanité !
- une fermeture au souhait démocratique d’égalité en dignité, à une foi en l’altérité, la diversité et complémentarité du vivant, plus essentielles que toute prétention à établir les barèmes de mérites artificiels fondateurs des dogmatismes aristocratiques (pouvoir de ceux qui éprouvent le besoin de s’autoproclamer ’meilleurs’ - plus instruits, plus savants, plus musculeux ou guerriers, plus culturels, plus malins, plus rusés, plus beaux/intelligents, plus grands ou près du Ciel, plus anti-conformistes, plus sûr d’eux, plus plus quoi ?)
Le logicien Bertrand Russell aurait voulu s’en remettre aux faits ... interprétés par qui ?
en tous cas sa logique reste une valeur digne de foi.
J’observe, constate et interprète
Tu observes, constates et interprètes
Il observe, constate et interprète
Nous observons, constatons et interprétons
Ah, là ça devient intéressant : le harcèlement est-il prêt pour le nous ?