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Commentaire de howahkan Hotah

sur Le sommet de la honte


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howahkan Hotah 30 novembre 2015 08:46

Salut, respect et robustesse

Pour moi nous sommes encore dans la continuité de la deuxième guerre mondiale, mèmes acteurs, mème enjeux, en gros, mais la Palestine apprends enfin les joies de la démocratie ..yeah

La Turquie n’entre dans la Seconde Guerre mondiale aux côtés des Alliés qu’en février 1945, mesure tellement tardive qu’elle est insignifiante sur le plan militaire. Sur le plan diplomatique cependant, elle permet à la Turquie de participer aux conférences de paix de l’après-guerre dans le camp des vainqueurs.

Lors de la montée des tensions, pendant les années 1930, la Turquie a cherché avant tout à se garder d’un aventurisme qui aurait risqué de mettre en péril ses intérêts : proche de l’Allemagne, craignant l’Italie, elle a tenté de ménager les deux parties aussi longtemps de possible. Grande-Bretagne et France cependant, l’ont courtisée ardemment, voyant dans le pays un maillon essentiel de la défense alliée en Méditerranée orientale : il s’agissait pour eux, au mieux, de la faire entrer dans le camp des Alliés, au pire, d’être assurés de sa neutralité. Les clauses de neutralité garantissent, en droit international, l’inviolabilité territoriale de l’état neutre, des droits de commerce et assurent qu’aucun soutien militaire (livraison d’armement, autorisation de l’usage du territoire) n’est accordé par l’État neutre à l’un des belligérants. Au début de la Seconde Guerre mondiale, la notion est supplantée par celle de non-belligérance, qui autorise la coopération économique avec des États en guerre. Le statut de la Turquie, quant à lui, est intermédiaire [1].

etc..à lire plus ici..........


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