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Commentaire de Gilles Mérivac

sur De la COP21 et des négociations internationales


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Gilles Mérivac Gilles Mérivac 1er décembre 2015 11:45

Les dirigeants sont « suiveurs » et ne feront rien qui nuise à leur image auprès des électeurs, ils ne sont donc pas le bon levier à actionner pour inverser les gaspillages. Si j’en juge aux kilos de prospectus entassés dans les boîtes aux lettres, les entreprises non plus ne peuvent assumer ce rôle.
Il ne reste plus que la responsabilité citoyenne, faire trier et payer les déchets au poids fait certainement plus avancer la cause climatique qu’une dizaine de conférences inutiles.


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