Merci pour votre très pertinent commentaire.
Mais dire que « la » solution ne peut être « que politique », même si cela semble être une évidence, est faux...comme tout ce qui est évident 
Pour la simple raison qu’il n’y a pas UNE ou LA solution, mais une infinité de solutions, en fonction des paramètres de lieux et de temps...surtout si vous connaissez un peu l’ Asie et son sens des nuances et des non dits 
Certes, qu’ AMNESTY soit alerté (ce qui est le cas depuis longtemps) et monte au créneau serait sans doute une composante de poids dans l’ébauche d’une solution !
Dénoncer des crimes contre l’humanité ou des crimes de guerre, c’est déjà ne pas être impuissant, et c’est mieux que rien.
Nous possédons, nous, un TRESOR dont nous sous-estimons souvent la portée :
LA LIBERTE D’EXPRESSION !
Dans ce cadre très privilégié (il suffit de sortir d’Europe pour s’en rendre compte), nous possédons une arme redoutable : NOS STYLOS (ou notre clavier), ne nous privons pas.
Ensuite, au delà des maux et des mots, il y a l’action : humanitaire, diplomatique, militaire...
Personnellement, après avoir alerté les politiques, tous les ministres, députés, sénateurs...depuis un an, sans aucun résultat sur le terrain ( d’où mon article), j’ai choisi le terrain de l’action humanitaire.
A chacun de réagir, d’agir et se placer sur la grille des solutions en son âme et conscience !