@sleeping-zombie
Bonjour,
« Tout d’abord le l’état n’a plus le pouvoir de créer des milliards, même avec de l’inflation » :
Mais si, il suffit de faire marcher la planche à billets, avec une dévaluation de l’euro, ou sortir de celui-ci,
« Ceux là auront perdu au maximum un mois de revenu, puisque ils iront dans une autre banque le mois suivant. » :
Tout faux, il n’auront plus un rond, aucune banque ne leur ouvrira ses portes, sauf a se refaire spolier ad’viternamn
« Mais les épargnants français sont quand même très peu nombreux et souvent ils mettent de l’argent sur le livret A qui reste garanti par l’état. » :
Les épargnants sont plus nombreux que vous ne pensez (le français est champion du monde de l’épargne) et le livret A n’est pas garanti en cas de faillite de l’Etat (qui n’a plus un rond mais mise 2 milliards sur l’Afrique à la COP21 qui ne sert à rien, et gruge la populace bien croyante), de plus ils décollectent le le livret A au profit de l’assurance-vie qui leur coûte les frais d’entrée ou de gestion (-ce qui fait qu’ils perdent les intérêts au moins du dernier exercice dudit livret la plupart du temps-)
« l’état sait très bien gérer et ferra patienter les épargnants ruinés en leur faisant miroiter le remboursement par l’état et son fond de garanti (pour raconter des conneries ce ne sont pas les derniers). » :
si les épargnants et les titulaires de comptes courants sont ruinés (comprenez, plus 1 euro de disponible), comment les faire patienter ? Il y aura les émeutes et la guerre civile, c’est tout, on bouffera son prochain, tout cru puisqu’on aura plus les moyens de le cuire (entre autres gentillesses du même acabit)
« car d’autres banques plus solides prendront le relai le mois suivant »
« Maintenant, rien n’interdit à une banque qui veut se grouper avec une autre de se faire tranquille une petite faillite et de payer les frais de rapprochement (licenciement, rachat d’actions etc.) » :
Voui, mais encore faudra t-il convaincre une autre banque de vous accepter sans un rond, et de toute façon, et là je suis d’accord avec vous, l’autre vous raclera le moindre centime pour faire bonne mesure.
Bien à vous,