"Depuis plusieurs décennies, la République a laissé se développer des
zones de désespoir, que le philosophe Jean-Paul Dollé nommait avec la
justesse qui le caractérisait : « Le territoire du rien ». Un urbanisme inhumain, sans lieux de loisirs, de culture, sans écoles
dotées de moyens à la hauteur de l’enjeu, au sein duquel aucun
sentiment humaniste et citoyen ne peut éclore.«
Ouai...et c’est pour cela qu’il y a des terroristes dans sensiblement tous les pays musulmans, que les habitant des krouchobas russes vivent paisiblement...
Cela me fait un peu penser à Hollande dont la première pensée après les meurtres, a été de prévenir qu’il allait dépenser plus et augmenter le déficit budgétaire. Une manière de demander des crédits et des postes quoi...
D’autant plus choquant que depuis Guily, on sait que la vrai grande pauvreté n’est pas dans les citées et qu’en revanche elles sont très arrosées financièrement.
A mettre sur le compte de la douleur. Allez, je préfère le croire. N’empêche, que la perte d’un enfant pousse à ressasser un discours politique prédigéré et sans nuances ni recul, j’ai un peu du mal.
Quand à cette description de ce qu’il est convenu chez les convenable de nommer les »quartiers« elle en dit long sur la connaissance qu’en a l’auteur et sur l’estime qu’il porte à ces populations....
Apprenez entre autre que bien sur, pas grand chose n’a le temps d’éclore dans les »zones" ce sont des lieux de passage ou le turn over des population est le plus rapide de France. On y reste un temps et on s’en tire dès que c’est possible...