@Serge ULESKI
L’auteur du Traité d’athéologie (saine lecture de mon point de vue).
Après ce résumé :
« Les trois monothéismes,
animés par une même pulsion de mort généalogique, partagent une série
de mépris identiques : haine de la raison et de l’intelligence ; haine
de la liberté ; haine de tous les livres au nom d’un seul ; haine de la
vie ; haine de la sexualité, des femmes et du plaisir ; haine du
féminin ; haine des corps, des désirs, des pulsions. En lieu et place de
tout cela, judaïsme, christianisme et islam défendent : la foi et la
croyance, l’obéissance et la soumission, le goût de la mort et la
passion de l’au-delà, l’ange asexué et la chasteté, la virginité et la
fidélité monogamique, l’épouse et la mère, l’âme et l’esprit. Autant
dire la vie crucifiée et le néant célébré... »
N’avait qu’à rester droit dans ses bottes. C’est un point de vue simple, compréhensible partagé par beaucoup de personnes ici et maintenant, d’où le succès de librairie.
Cela dit, on peut être en même temps (ce que je suis aussi) opposé aux guerres coloniales que la France mène en terre d’Islam. Ce qui est évident c’est que le tandem Fabius/Hollande continuant cette politique agressive à l’étranger, initiée par Sarkozy faut-il le rappeler, sans combattre le fondamentalisme islamique sur son sol prenait un très gros risque. On a vu le résultat, mais est-il possible aujourd’hui de se désengager ? Bref ces deux derniers présidents calamiteux nous ont foutu dans la merde jusqu’au cou fragilisant notre sécurité intérieure, accroissant nos déficits, affaiblissant notre diplomatie (qui veut être ami de la France aujourd’hui), tout cela pour servir des intérêts qui ne sont pas les nôtres.
Quand je vois que l’exploitation éhontée de la souffrance des victimes et de leurs familles, jointe à des postures de va-t-en-guerre, de boutefeu, et des mesures de restriction des libertés publiques redorent le blason de ce triste sire, j’en ressens de la honte pour nous les Français. Les dictateurs aiment la guerre, c’est un prétexte qui leur permet de légitimer l’oppression.