Cudabé ! Ça fait plaisir de lire enfin un article sensé, rejetant à leur place - la poubelle, ou mieux, le chiotte - toutes ces névroses collectives appelées « religions » qui, au lieu de « relier », séparent, excluent et tuent. Got mit uns, Got in our side, bien sûr.
Tè ! Voilà une poême de combat que j’ai écrit il y a déjà quelques temps :
Athée souhaits
Ils nous les gonflent
grave avec leurs conneries
Est-elle hallal, casher,
des bestiaux la tuerie ?
Sont-ils donc estourbis,
égorgés ou saignés ?
Cornedieu ! On s’en
fout de ces discours de niais !
Les imbéciles heureux que
le besoin de croire
Rend aptes à gober des
monceaux de bobards.
Croire n’importe
quoi, croire n’importe qui !
Surtout ne pas
penser ! Trop dangereux Kiki !
De la pensée nait
l’inquiétude.
Pas confortable
l’inquiétude !
Faut-il avoir vraiment un
Q.I. de mérou
Pour croire en vous,
curés, imâms, rabbins, gourous
Qui vous précipitez sur la
misère humaine
Comme mouches à merde sur
des fruits de bedaine.
Vous confisquez la Vie,
vous promettez le Ciel
Votre esprit est tordu,
votre voix est de fiel,
Partout où vous passez
agonise l’espoir,
Vous mettez la Raison,
toujours, sous l’éteignoir.
Votre fond de commerce,
votre sale bizness,
N’est que l’exploitation
de l’insigne faiblesse
Et la crédulité de gens
déboussolés
Prêt à tout abdiquer pour
être consolés.
Pour vos sombres desseins,
toute détresse est belle,
Vous êtes des machines à
laver les cervelles
Des crédules victimes qui
tombent dans vos rets
Et qui seront broyés,
ruinés puis essorés
Pour vous servir
d’esclaves, de chiens, de trous à bites,
De zombies asservis, de
main d’œuvre gratuite.
Ô toi, Humain mon frère,
que l’existence angoisse
Fuit comme le sida leurs
sinistres paroisses
N’écoute pas la peur et
fuit tous ces menteurs
N’écoute pas tous les
profiteurs de la peur
Surtout ne croit en rien,
rejette toute foi
Que le doute, toujours,
soit ton ultime Loi.
Puisque tu n’y peux rien,
puisqu’au bout de la Route
Inconnu ou néant
apaiseront tes doutes.
Puisque tu n’y peux rien,
attends sans peur la mort
Goûte plutôt la Vie sans
pleurer sur ton sort.
VictorAyoli