@Enabomber : « Le féminisme est une chose, la pathologie psychiatrique en est une autre. »
OK, on reprend l’exemple de Michèle Dayras et Martin Dufresne, féroces militants féminazis :
http://deonto-famille.info/index.php?topic=27.0 :
"Pour moi, tout homme est
un « salaud » en puissance, comme on pourrait dire que tout homme est
un violeur ou un intégirste en puissance. Je pense, aorès tant d’années
passées à militer, qu’il ne s’agit que d’une question de degré dans
l’abjection, ce qui fait que certains hommes peuvent passer pour sympa «
»notre ennemi, celui qui nous opprime : c’est l’homme !"
http://deonto-famille.info/index.php?topic=25.0
http://deonto-famille.info/index.php?topic=29.0
http://deonto-famille.info/index.php?topic=296.0
http://deonto-famille.info/index.php?topic=82.0
http://deonto-famille.info/index.php?topic=209.0
http://deonto-famille.info/index.php?topic=205.0
Et n’oublions pas comment elles ont suicidé leur janissaire dévoué :
http://deonto-famille.info/index.php?topic=303.0
Votre mission si vous l’acceptez est de démontrer qu’au 21e siècle dans nos pays surenveloppés, le féminisme maintenu après épuisement de la totalité de ses objectifs avouables, présente encore des cas qui ne seraient ni psychiatriques, ni pervers. Sous les différentes variantes : perverses narcissiques, perverses paranoïaques, perverses histrioniques.