@guylain chevrier
Il ne faut pas seulement déchoir de la nationalité française les bi-nationaux qui, par leur actes, se sont montrés indignes d’en être les récipiendaires, il faut interdire purement et simplement la double nationalité. Pas de double allégeance, pas de double loyalisme, qui d’ailleurs, au-delà des beaux discours moralisateurs, n’existent pas et ne peuvent exister dans les faits.
Il faut ainsi déchoir non seulement les terroristes, ceux qui ont pris les armes contre le pays qui a daigné les accueillir dans la communauté nationale - à tord manifestement - mais tous ceux qui, une fois devenu français, vont dans les 10 ans commettre un crime ou un délit suffisamment grave susceptible de les porter en prison. Preuve là encore de l’indignité nationale, et de l’ingratitude témoignée à l’égard du pays d’accueil.
Les expulsions doivent suivre systématiquement ces déchéances, potentiellement très nombreuses.
Il faut ensuite supprimer le droit du sol et cesser par la même de nationaliser à tour de bras, où nous avons vu où cela nous menait : à la dissolution mondialiste, à l’éradication de nos particularismes culturels et religieux. Seul le droit du sang doit prévaloir. Le culte des ancêtres et les attachements vitaux doivent être préservés et promulgués, comme doit être préservée une cohésion et une intégrité minimales du peuple, conditions de sa volonté de puissance.
Pour toutes ces raisons le droit au regroupement familial doit être purement et simplement abandonné, et fustigé comme faisant partie intégrante d’un processus inversé de colonisation. A cet égard, il faut supprimer dans l’heure toutes les subventions publiques à l’attention des officines parasitaire, immigrationnistes et anti-nationales, que sont les officines pseudo-antiracistes (type Sos-« racisme » ou LICrA) et/ou de soutien aux immigrés clandestins et illégaux (type France « terre d’asile »).
Il faut ainsi stopper immédiatement toute immigration légale et illégale, condition nécessaire mais non suffisante pour entrevoir une issue favorable à la situation délétère actuelle, porteuse de guerre civile à terme. Cela suppose évidemment de dénoncer les accords internationaux qui nous lient les mains sur ce point, et recouvrer nos frontières politiques et économiques. Ce qui suppose également, afin de dissuader les prétendants à l’immigration, de généraliser la préférence nationale et de l’étendre à tous les secteurs socio-économiques sans exception (déjà valables pour des pans entiers de la fonction publique).
Condition insuffisante car il faut enfin annihiler les velléités communautaristes et endogames de certains de nos récents compatriotes qui s’inscrivent dans une processus de sécession. Réaffirmation des principes laïcs : zéro subvention, strictement, s’agissant des constructions de lieux de cultes. Criminalisation des pratiques communautaristes clientélistes scandaleuses de la part de nos représentants élus. Châtiment immédiat (expulsion, suspension des allocations, mise à l’amende) dès qu’il s’agira de contester ces principes à l’école, à la mairie, dans les hôpitaux, et plus généralement dans tous les bâtiments publics.
Sur ces propositions de bon sens, il est absolument certain de réunir, de rassembler une très large majorité de nos concitoyens, comme tend à le démontrer d’ailleurs les derniers sondages concernant la déchéances de la nationalité.
Les gauchistes décérébrés, éternels traitres à l’intérêt national, comptez-vous ! Trois tondus, deux pelés, un chien qui passe...
A bon entendeur.