Cette personne est dans sa folie et sa bêtise le produit d’un conditionnement pavlovien xénophile qui doit l’obliger à être actrice de son propre suicide.
C’est comme en URSS lorsque les habitants étaient conditionnés pour être les acteurs de leur propre collectivisation.
Ici à l’Ouest, l’antiracisme (qui est un racisme contre les blancs et la France charnelle) et les colonies de peuplement africaines ou multiculturelles sont à l’origine d’une propagande politique pour conditionner les autochtones français à devenir les acteurs de leur propre suicide.
C’est pour cela que cette folle pendant ces attentats ne craignaient plus pour sa propre survie, mais pour le « padamalgam ».
C’est une sorte de syndrome de stockholm par conditionnement républicano-antiraciste.
Il ne fait aucun doute que ce peuple parisien qui dépose des gerbes de fleurs, qui se croit en deuil alors que nous sommes en guerre, qui joue du piano et qui fait des minutes de silence, il ne fait aucun doute que ce peuple parisien est un peuple castré de morts en sursis, qui par leurs conditionnements ne sont que d’infantiles animaux de boucheries.
Le second amendement ou les armées de milices citoyennes comme en Suisse ne sont pas prêtes d’arriver en France, si à cause de ses conditionnements le peuple français n’a même plus conscience qu’il est train de mourir parce qu’on est en train de le tuer.
La situation psychopathologique du peuple français et des élites occidentales est la preuve parfaite que l’Homme est un animal irrationnel, qui méprise la réalité au profit de ses croyances et de ses conditionnements neuro-cognitifs.
Les musulmans idolâtrent un coupeur de têtes du moyen-age qu’ils nomment le prophète Mahomet, parce qu’ils sont conditionnés de naissance pour l’idolâtrer (et on leur coupe même un morceau de zizi dès la naissance pour cela avec la pratique barbare de la circoncision) et les français idolâtrent l’infantilisme pacifiste jusqu’à en mourir, parce qu’ils sont conditionnés pour cela.
Tout cela interroge en fait la viabilité de l’espèce humaine, si sensible à son environnement sociale dans la détermination de ses propres comportements, croyances ou réflexes conditionnés.