@Au fil des idées
Apple est en aucun cas un exemple de l’avidité d’actionnaires.
L’action US est à 105USD/115USD pour 1.98% le dividende. C’est pas le Pérou...Comme on dit.
Et le capital comporte surtout des actionnaires stables. Ce sont surtout les entrants sur une minorité du capital qui font varier à la hausse l’action....
Vous confondez bénéfices et dividendes.....
L’actionnaire pourrait être vous même.
Vous pouvez faire des milliards de bénéfices, et distribuer de faibles dividendes. Apple n’est pas « généreux ».
Vous pouvez faire des pertes et distribuer des dividendes (exemple EDF).
Dans le cas de Apple, les actionnaires sont en général des fonds de pension, c’est a dire quasiment des simples et ordinaires salariés ou pensionnés retraités Américains, Hollandais, Norvégiens, Japonnais ou Australiens.
Loin de vos clichés de gens « avides ».....
Une entreprise n’a pas pour définition d’être juste « rentable » mais de faire des bénéfices, et si possible les plus élevés possibles.
Une politique d’entreprise ne se juge pas sur un résultat de une année mais des dizaines d’années.
Les bénéfices sont économiquement une très bonne chose car ils constituent des moyens moyens de financement pour l’entreprise ou des réserves en cas de retournement de mode ou conjoncture et absorber des pertes futures dans des marchés de retournement rapide.
Vous oubliez la dynamique du capital.
Dans votre exemple, les années 80 Apple faisait des bénéfices. Dans les années 90 des pertes écrasé par le PC qui dépassait les MAC.Sans le cumul des bénéfices en trésorerie des bénéfices des années fastes, cette entreprise serait morte ou vendue comme IBM.
Le concurrent Nokia avec un retournement technologique vient de se vendre a Microsoft faute d’avoir accumulé des capitaux en période faste Apple au moins avec ses bénéfices est prêt a subir une désaffection de ses produits phare grâce a ses bénéfices et un bon rendement.