@ yukulele qui a écrit :
"Le retour des religions dans le pays, car l’islam tract (e ?) de facto les
autres qui se réveillent par réaction, redonne corps au discours
anticlérical.«
La religion la + attaquée (impunément, avec l’appui de l’appareil judiciaire) en France est, de très loin, la religion catholique. Déjà entendu parlé de rabbins ou d’imams pédophiles ? (traduire, accusés de l’invention pédophilique) Déjà vu des actions engagées contre des dégradations d’églises et de cimetières (Carpentras, où es-tu ?) Déjà vues des institutions catholiques protégées telles des synagogues (shoix prioritaire of course) ?
PARCE QUE
Cas à part, le judaïsme est »évidemment« intouchable ( »religion« des maîtres, équivalent du régicide, lois spéciales)
l’Eglise catholique était en France ultra-dominante et, quand elle était encore saine (morale à 2 vitesses, prosélytisme vigoureux) participait de la pérennité du corps social et de l’approbation des valeurs hiérarchiques à tous les niveaux (entre les Peuples, les individus, les sexes, les conditions et aptitudes, les âges) L’Eglise-puissance (la vraie !) pendant des siècles était une pièce hiérarchique maîtresse en Europe. C’est à CE titre qu’elle est toujours une cible prioritaire (comme tous les ex-dominants / structurants que sont les Blancs, les érudits / enseignants, les parents / adultes, les mâles, le travail, l’exigence, la sélection..) pour les valeurs triomphantes (et mortifères) de la Grande Egalité.
L’Islam jouissait d’un préjugé favorable parmi nos maîtres puisque synonyme d’infusion forcée de groupes ethniques exotiques en France : (dissolution, diversité, métissage, nivellement par le bas, ...) mais c’est une religion encore vivante (comme nous l’étions avant). Sur un terrain européen ravagé par le nihilisme et les »valeurs« de la Revanche égalitaire (une dictature monstrueuse et informe, avorteuse, laïque, castratrice, homophile, indifférenciée, inculte, pleine de parasitisme social et de pitié glapissante pour tout ce qui est raté, nuisible ou contre-nature) elle constitue un ferment d’identification, une raison de vivre »ensemble« , voire de se battre et de mourir.
Qui aurait envie de mourir pour défendre la Gaypride et les valeurs »françaises" (à la Valls/Fabius/Drucker) ou bien l’Eglise catholique actuelle (ravalée au rang d’ONG alternative avec un Pape prônant la pauvreté du haut-clergé, si ce n’est la dissolution de l’Eglise) ?