@Fergus
Bien vu Fergus. Inutile d’être trop cruel, et de rappeler la position des suisses pendant la dernière guerre, et l’argent nazi planqué dans les coffres. Ce n’est pas pour rien que l’allemagne n’a pas envahi ce pays, soit disant « neutre », tout comme la suède....Il faut remettre les montres à l’heure,comme on dit....L’histoire de la suisse est basée sur l’opportunisme. Pays très pauvre au moyen age, elle verra sa fortune assurée par le biais de ses mercenaires, dont les derniers avatars sont les gardes suisses du vatican, très bien payés d’ailleurs....Les suisses, dont Guillaume Tell reste le héros, ont ainsi développé l’art de la guerre, pour en faire bénéfice sur le terrain des autres ; ce ne seront pas les seuls me direz vous qui entretiendront le filon. Ces soldats en tout cas, bien formés, redoutables car cruels et sans merci, seront très recherchés par les armées européennes. Leurs habits étaient souvent chamarés, comme un peu justement les garde suisse, mais en plus vulgaire et effrayant, afin d’être reconnu et de tétaniser l’adversaire, une vieillie technique la aussi. Une figure humaine était souvent peinte dans leur dos, pour montrer qu’ils étaient partout. Big broher guerrier !...La grande fortune de la suisse se construira sur le secret des banques, mis un peu à mal en ce moment par les exigences américaines, et l’irritation croissante des états, face à des techniques d’escroquerie proposés par les banques aux riches étrangers, et proposés par des VRP, sur le sol français.....Toutes les fortunes ne se font pas défiscaliser par les machines à laver suisse, il y a aussi Monaco....Cela n’empêchera pas l’indignation de notre Johnny national suisse, regrettant de ne pas être plus jeune pour aller combattre Daesh. On s’étonne que la glace fonde...mais qu’en est il du chocolat... ?..Un furieux nationalisme et une aversion de l’étranger, surtout pauvre, fleurit dans ce pays, de plus en plus replié sur lui même, à la bonne faveur de sa monnaie. Mais les temps tournent, et des horloges imprévues risquent de bousculer la donne, et les fromages empilés.