@Fabien Sabinet
Oui, un éther granulaire interroge sur
ce qui devrait exister entre ses quantum et auquel nous ne pouvons
répondre que par un infini qui est : si, comme le rond dans
l’eau, la matière est bien la vibration d’un substratum spatial
alors de quoi seraient vibrations, selon ce schéma, les quantum de
cet éther-espace qui, autre substrat plus fondamental, serait
vibrations de quoi d’autre ? Et cela jusqu’à sans fond, donc de …
0 <=> 0O.
Ainsi nous pouvons comprendre que cela
semble être lié à l’état même de CE QUI EST qui nous impose un
mode d’apprentissage permettant une acquisition de connaissances
VRAIES ne pouvant se faire que par la mesure, donc par la comparaison
expérimentale, par l’observation, connaissance qui en feed back
s’auto-corrige et évolue en obéissant aux lois de plus en plus
fondamentales qu’elle permet de découvrir peu à peu. Les grands
esprits anciens l’avaient d’une certaine façon déjà compris et
exprimé autrement que la science par le MYSTERE. Mystère
définitivement inabordable et donc inconnaissable parce que, comme
les ronds produits dans cette eau qui porte notre analogie
ondulatoire et sert encore dans les rites baptismaux, ce rond dans
l’eau, si la conscience lui venait (image … d’accord … ?) ne
pourrait sortir de son élément milieu spatial pour en prendre
connaissance en le comparant à un autre substrat d’espace : cela lui
est fondamentalement impossible.
Maintenant il est aussi unanimement
admis par les plus grands esprits que quand une théorie fait la
synthèse de plusieurs autres c’est qu’alors, plus simple qu’elles,
elle est intellectuellement plus proche de la Vérité.
Mais bon ! Qui vivra verra … !
@+ si l’insidieux le veut ! M&A J.