@olivier cabanel
Le problème des Ovnis n’est pas leur existence à moins de sombrer dans la machination planétaire.
Le problème est de savoir s’il est utile d’y consacrer du temps. Les détracteurs sont sur ce registre, les autres sont des autruches.
L’intérêt est d’abord scientifique, je pense que les psy ont suffisamment de travail avec les humains,eux-mêmes compris, avant de s’occuper des ET dont on ignore tout. On n’a pas constaté de trace de carburant et les analyses de terrain ont fait penser au nucléaire mais c’est un effet secondaire type fusion froide qu’on retrouve sur le WTC sans que ce soit en rapport avec les Ovnis, à Tchernobyl et dans d’autres expériences qu’on peut consulter à
l’ICCF19.
Il est certain que l’USAF connait le phénomène utilisé, sait faire des expériences mais ne le comprend pas. Le problème est donc purement théorique, il manque une compréhension théorique qui expliquerait le phénomène. Je suis persuadé que l’USAF sait faire des expériences qui font varier le poids mais qu’ils ne comprennent pas, les
russes également. Le fait de ne pas accepter psychologiquement les Ovnis était une arme qui leur permettait de se réserver cette problématique pour devancer les petits copains, évidemment. Personne ne risquerait un €, ils contrôlaient totalement l’affaire et il est logique que les armées se réservent un droit d’examen prioritaire mais cette technologie a également de très grandes applications pour le civil, il faudrait donc lever la barrière psychologique ce qui sera fait le jour où les officiels présenteront des preuves, beaucoup de pays l’ont fait mais on attend la position US parce qu’ils ont certainement des arguments massues, si l’on en croit les rumeurs. De toute façon, ils n’ont pas trouver les premiers donc le secret n’est pas leur intérêt.
Je ne peux vous assurer qu’une seule chose, ils ont compris le phénomène depuis pas mal de temps mais ils ne pigeaient rien à la théorie, c’est d’ailleurs assez simple dans les principes mais c’est très perturbant pour les scientifiques académiques parce qu’il y a beaucoup de notions de fond à réexaminer, énormément. Lorsqu’on a un motif en ombre chinoise on peut décrire le motif en se plaçant coté lumière ou coté ombre. Disons qu’on s’était placé coté ombre.