@clément dousset
Les guerres actuelles du Moyen-Orient sont bien aussi, même si pas seulement,
le résultat d’une conception criminogène de la croyance en Dieu. D’une certaine
manière, Riss le survivant du 7 janvier 2015, a donc le droit d’attribuer à
Dieu lui-même les meurtres commis par des croyants, comme le faisait, tout de
suite après le 11 septembre 2001, le prix Nobel de littérature José Saramago en
écrivant (dans Le Monde du 22) que "le
facteur Dieu« était »la
plus criminelle des inventions".
La malhonnêteté de l’actuel Charlie vient
seulement quand le « Dieu assassin » est dessiné tel qu’il évoque le
Dieu judéo-chrétien, alors que ce sont aujourd’hui des musulmans fanatisés qui
tuent.
Je crois cependant que l’église chrétienne
a encore une très lourde responsabilité dans la persistance de la croyance
criminogène :
http://www.blog.sami-aldeeb.com/2011/09/18/benoit-xvi-premier-responsable-de-la-violence-religieuse/
Mais je regrette mon titre provocateur (à
la réflexion des catholiques) puisque le résultat est toujours à peu près nul.