Peter Sutherland s’est distingué récemment en souhaitant l’arrivée en Allemagne « d’un million de migrants par an pendant 30 ans ».
Il est l’un des symboles de cette partie de la classe dirigeante actuelle qui hait les nations européennes et s’acharne à les détruire, alors qu’elle est pourtant censée les représenter et les défendre.
Comment en est-on arrivé là ?
Les motifs économiques tels que la baisse du coût de travail ne suffisent pas à expliquer cette politique. Certains patrons y trouvent certes un avantage, mais il est clair que ce ne sont pas les hordes de migrants de Cologne ou de Calais qui vont redresser l’économie européenne et payer nos retraites.
L’explication est ailleurs.
Laurent Guyenot explique la mise en oeuvre de cette politique de métissage par l’action tenace et résolue d’une partie des élites juives depuis le 19ème siècle ; elle y trouve un avantage communautaire et sectaire :
"Comme le montre Kevin MacDonald pour les États-Unis, transformer les
nations occidentales en sociétés multiculturelles a été un objectif
majeur des élites juives depuis le XIXe siècle.
Il ne s’agissait pas seulement d’augmenter la tolérance nationale
envers les communautés ethniques, mais aussi d’augmenter l’importance
numérique et la diversité des communautés ethniques par l’immigration
massive, en faisant miroiter les bienfaits du métissage mais de manière à
aboutir en réalité au pluralisme ethnique.
L’une des figures
emblématiques de ce mouvement culturel fut Israel Zangwill, auteur à
succès avec sa pièce de théâtre intitulée The Melting Pot (1908),
dont le titre est passé à la postérité comme métaphore de la société
américaine. Le héros est un juif qui a émigré aux États-Unis pour fuir
les pogroms qui ont décimé sa famille en Russie. Il tombe amoureux d’une
immigrée russe chrétienne, qui s’avère être la fille de l’officier
russe responsable de la mort de sa famille. Le père de la fiancée se
repend, et le couple peut vivre heureux pour toujours. Le héros se fait
le chantre de l’assimilation par les mariages mixtes, par lesquels Dieu
donne naissance à un homme nouveau : « L’Amérique est le Creuset [Crucible] de Dieu, le grand Melting-Pot où toutes les races de l’Europe se fondent et se reforment. »
Le paradoxe est qu’au moment où il écrit et produit sa pièce, Zangwill
est un leader sioniste engagé, c’est-à-dire le chantre d’un mouvement
qui affirme l’impossibilité pour les juifs de vivre parmi les gentils,
et la nécessité pour eux de vivre ethniquement séparés. Zangwill est
l’auteur de cette autre formule fameuse : « La Palestine est une terre sans peuple pour un peuple sans terre. »
On ne saurait mieux illustrer le double langage et le double jeu du
juif communautaire qui prône le métissage chez les gentils et la pureté
ethnique chez les juifs. Le néo-conservateur Douglas Feith le dit sans
ambages dans un discours prononcé à Jérusalem en 1997 : « Il y a place dans le monde pour des nations non-ethniques, et il y a place pour des nations ethniques."
http://www.egaliteetreconciliation.fr/Judeite-racisme-et-metissage-36935.html
17/01 17:31 - Unghmar Gunnarson
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