Les pourrisseurs de la France et de l’Europe qui organisent l’invasion doivent rigoler et se frotter les mains, ils trouvent toujours quelques bonnes âmes et quelques idiots utiles pour relayer leur entreprise de destruction des nations européennes.
Extrait d’un article de Laurent Gueynot :
"Comme le montre Kevin MacDonald pour les États-Unis, transformer les
nations occidentales en sociétés multiculturelles a été un objectif
majeur des élites juives depuis le XIXe siècle.
Il ne s’agissait pas seulement d’augmenter la tolérance nationale
envers les communautés ethniques, mais aussi d’augmenter l’importance
numérique et la diversité des communautés ethniques par l’immigration
massive, en faisant miroiter les bienfaits du métissage mais de manière à
aboutir en réalité au pluralisme ethnique.
L’une des figures
emblématiques de ce mouvement culturel fut Israel Zangwill, auteur à
succès avec sa pièce de théâtre intitulée The Melting Pot (1908),
dont le titre est passé à la postérité comme métaphore de la société
américaine. Le héros est un juif qui a émigré aux États-Unis pour fuir
les pogroms qui ont décimé sa famille en Russie. Il tombe amoureux d’une
immigrée russe chrétienne, qui s’avère être la fille de l’officier
russe responsable de la mort de sa famille. Le père de la fiancée se
repend, et le couple peut vivre heureux pour toujours. Le héros se fait
le chantre de l’assimilation par les mariages mixtes, par lesquels Dieu
donne naissance à un homme nouveau : « L’Amérique est le Creuset
[Crucible] de Dieu, le grand Melting-Pot où toutes les races de l’Europe
se fondent et se reforment. »
Le paradoxe est qu’au moment où il écrit et produit sa pièce, Zangwill
est un leader sioniste engagé, c’est-à-dire le chantre d’un mouvement
qui affirme l’impossibilité pour les juifs de vivre parmi les gentils,
et la nécessité pour eux de vivre ethniquement séparés. Zangwill est
l’auteur de cette autre formule fameuse : « La Palestine est une terre
sans peuple pour un peuple sans terre. »
On ne saurait mieux illustrer le double langage et le double
jeu du
juif communautaire qui prône le métissage chez les gentils et la pureté
ethnique chez les juifs. Le néo-conservateur Douglas Feith le dit sans
ambages dans un discours prononcé à Jérusalem en 1997 : « Il y a place
dans le monde pour des nations non-ethniques, et il y a place pour des
nations ethniques."