Mon exemple est totalement atypique.
Nombre de découvertes que j’ai faites, je les dois à la communication Internet, plus Usenet à partir de 2003, au même moment où j’ai créé mon premier site.
Grâce à Internet (Usenet minoritaire sur ce point), j’en appris bien davantage sur la paranoïa que ce qu’on trouve filtré sur les livres.
Sur Internet les rixes d’ivrognes se passent par écrit, laissent des traces écrites, qu’il faut parfois sauvegarder plus vite que les ciseaux de la ouebmistresse.
J’ai ainsi appris que bien des pervers et paranoïaques ne sont nullement les victimes directes de persécutions par leurs parents comme le racontent le gros des médias et Arthur Janov : bien au contraire, ils ont été élevés en aide-bourreaux, et sont prisonniers de leurs crimes, de la crainte d’être démasqués. Sans parler de la crainte persistante d’être à leur tour persécutés s’ils défaillent à leur devoir de persécuter les quelques boucs émissaires qui leur sont désignés.
Sur internet et directement de la bouche des juments, j’ai appris le détail de cette maladie mentale collective qu’est le misandrisme victimaire, dit aussi féminazisme. C’est une expérience inoubliable, que celle de cette criminalité triomphante et protégée.
Sur Internet j’ai pu publier ce que j’apprenais et découvrais. C’est de la publication à compte d’auteur, mais à coût très bas, de nos jours.
Ainsi j’ai pu faire tomber un escroc international :
http://deonto-ethics.org/impostures/index.php?board=24.0
http://deonto-ethics.org/impostures/index.php?board=26.0
Je pourrais continuer longtemps ce genre d’énumération.